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La peur de la COVID-19 est là pour de bon, selon Boucar Diouf

Boucar Diouf, en studio
Boucar Diouf, auteur et animateurPHOTO : Radio-Canada / Érik Chouinard
Publié le 5 mai 2020

Il sera bien difficile de déprogrammer la peur, bien ancrée dans les esprits après plus d'un mois de confinement, selon Boucar Diouf. À la veille de la réouverture des écoles au Québec, l'humoriste, animateur et biologiste décortique la mécanique de la peur au micro de Jean-Philippe Pleau et de Serge Bouchard.

Il explique que les psychologues mettent parfois des années à traiter des phobies complètement imaginaires. La peur de la COVID-19, alimentée à coup de faits scientifiques et d'images d'horreur dans les médias, risque d'être encore plus difficile à déprogrammer, selon lui.

« Dire du jour au lendemain : "On va se déprogrammer", c'est ne pas comprendre la physiologie ou la chimie de la peur." »

— Une citation de  Boucar Diouf, humoriste, animateur et biologiste

Père de deux enfants au primaire, Boucar Diouf a vu plusieurs de ses projets professionnels annulés, et ce, jusqu’en 2021. Il a donc l'intention de continuer à faire l'école à la maison dans les prochains mois.

Selon l'humoriste, il faut éviter de culpabiliser les parents qui décideront de faire de même. Les enfants ont besoin de l'école et ils ont besoin de socialiser, c'est vrai. Mais il y en a aussi qui sont bien à la maison, dit-il.

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